Estimation

Valorisation foncière : 

La valorisation foncière est une approche méthodologique structurée visant à optimiser les conditions commerciales dans le cadre d’une cession d’actif, tout en maîtrisant les risques et les délais. Elle s’adresse à tous type d’utilisateur propriétaire foncier et concerne les actifs industriels et tertiaires : site libérable dans un avenir proche, site totalement ou partiellement inexploité, terrain à bâtir, friches industrielles,…

Nous utilisons les méthodes suivantes : 

Par comparaison (ou méthode par le marché La méthode dite “par comparaison” consiste à déduire la valeur d’un bien de l’analyse du prix obtenu de la vente, récente, d’autres biens aussi semblables que possible en termes de consistance, d’état, de situation, qualifiés ici de « références » ou « points de comparaison ».

Par capitalisation (ou méthode financière): 

La méthode dénommée “par capitalisation” consiste à capitaliser ou actualiser un revenu annuel, qu’il s’agisse d’un loyer constaté (bien occupé) ou d’une valeur locative (bien libre), d’un revenu brut ou d’un revenu net, pour parvenir à une valeur vénale. La méthode est fondée sur le constat que la valeur du bien est en relation avec le revenu qu’il procure (ou peut procurer). Cette méthode fait emploi d’un taux dit de capitalisation ou de rendement, qui représente la rémunération de l’argent.
Par cash-flow :
Cette méthode dite “cash flow discounted” ou en abrégé “DCF” ou traduite “actualisation des flux de revenu” consiste à estimer le bien selon son avenir et ses revenus et charges escomptés. Cette méthode d’origine anglo-saxonne est courant désormais au niveau européen et est en lien avec les normes comptables IFRS.
Par le coût de remplacement :
La méthode par le coût de remplacement net consiste à reconstituer le prix de revient d’un immeuble en lui associant la valeur du terrain (par comparaison ou calcul résiduel) aux coûts de construction d’un bien équivalent, en déduisant le cas échéant une dépréciation causée par la vétusté. Cette méthode est toutefois peu utilisée par les investisseurs et s’applique généralement aux biens immobiliers très spécialisés, souvent exploités par leur propriétaire, comme les usines, les écoles, les mairies, voire les églises.